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Société Nouvelles
Examen métallographique des engrenages : principes, méthodes et connaissances clés
Les engrenages sont des composants essentiels de la transmission mécanique, et leurs propriétés matérielles et la qualité du traitement thermique affectent directement la durée de vie et la fiabilité. L'examen métallographique, par l'analyse microscopique des matériaux des engrenages, évalue des indicateurs clés tels que les processus de traitement thermique, la profondeur de cémentation et la taille des grains, servant de méthode cruciale de contrôle qualité.
Objectifs principaux et éléments de détection
L'objectif principal de l'examen métallographique des engrenages est d'assurer la performance du produit en évaluant les paramètres critiques :
Profondeur de cémentation : Un indicateur clé de la résistance à l'usure des engrenages cémentés/trempés (selon la norme ISO 6336).
Taille des grains : Influence la résistance et la ténacité des engrenages (classée selon la norme ASTM E112).
Microstructure : Les morphologies de la martensite, de l'austénite résiduelle et des carbures déterminent les performances en fatigue.
Défauts de surface : Détecte les brûlures de rectification et les fissures (conformément à la norme AIAG CQI-9).
Constituants microstructuraux de base
Ferrite (α) : Structure cubique centrée (BCC), douce et tenace avec une faible dureté (~80HV), courante dans l'acier à faible teneur en carbone et le fer pur.
Austénite (γ) : Structure cubique à faces centrées (FCC), haute plasticité et non magnétique, présente dans l'acier à haute température ou à haute teneur en alliage comme l'acier inoxydable 304 et l'acier à haute teneur en manganèse.
Cémentite (Fe₃C) : Système cristallin orthorhombique, dur et fragile (~800HV) et améliore la résistance à l'usure, trouvé dans la fonte blanche et l'acier à haute teneur en carbone.
Martensite : Structure tétragonale centrée (BCT), dureté élevée (500~1000HV) obtenue par trempe, utilisée dans l'acier trempé et l'acier à outils.
Morphologies microstructurales courantes
Type de microstructure
Conditions de formation
Caractéristiques de performance
Applications typiques
Perlite
Refroidissement lent (transformation eutectoïde)
Résistance et ténacité équilibrées
Acier pour rails, trempe et revenu des engrenages
Bainite
Trempe isotherme à température moyenne
Résistance et ténacité supérieures à la perlite
Ressorts, boulons à haute résistance
Sorbite
Martensite revenue (500~650℃)
Excellentes propriétés globales
Arbres, bielles
Processus de test et méthodes standard
Échantillonnage et préparation des échantillons
Positions d'échantillonnage : Sommet de la dent (évalue l'effet de durcissement de surface), pied de la dent (analyse la microstructure dans les zones de concentration de contraintes), coupe transversale (mesure le gradient de cémentation).
Étapes clés de la préparation : Coupe → Montage → Meulage → Polissage → Attaque → Observation microscopique.
Montage : Utiliser de la résine époxy pour la protection des bords (montage à froid recommandé pour éviter l'impact thermique).
Polissage : Polir jusqu'à une finition miroir de 0,05μm avec une pâte de polissage diamantée pour éviter les interférences de rayures.
Sélection de l'agent d'attaque
Type de matériau
Agent d'attaque recommandé
Effet
Acier cémenté
4% Nital (acide nitrique-alcool)
Affiche clairement la martensite/austénite
Acier nitruré
Acide picrique + détergent
Met en évidence la couche de nitrure (par exemple, γ'-Fe₄N)
Engrenages en acier inoxydable
Attaque électrolytique à l'acide oxalique (10V, 20s)
Distingue la phase σ et les carbures
Équipement de test clé
Microscope optique (MO)
Application : Observation de la microstructure de base (par exemple, classification de la taille des grains).
Exigences de configuration : Grossissement de 500×~1000×, équipé d'un logiciel d'analyse d'image (par exemple, Olympus Stream).
Microscope électronique à balayage (MEB)
Avantages : Observation à haute résolution des inclusions non métalliques (par exemple, MnS) et analyse de la composition via EDS.
Exemple de cas : Fissures intergranulaires causées par la ségrégation du soufre détectées dans l'analyse de fracture de la boîte de vitesses d'une éolienne.
Test de microdureté
Méthode : Test de gradient de dureté Vickers (HV0.3~HV1) pour tracer les courbes de cémentation.
Norme : ISO 2639 définit la profondeur de cémentation comme la distance de la surface au substrat à 550HV1.
Analyse de la microstructure
Microstructures normales
Processus de traitement thermique
Microstructure idéale
Cémentation et trempe
Martensite aciculaire fine + <10% d'austénite résiduelle
Durcissement par induction
Martensite cryptocristalline + zone de transition uniforme
Trempe et revenu
Sorbite revenue (distribution uniforme des carbures)
Défauts courants et causes
Cémentation excessive : Carbures en réseau en surface, augmentant la fragilité et le risque d'écaillage de la surface des dents.
Brûlure de rectification : Couleurs de revenu révélées par le décapage (ASTM E1257), prévenues en contrôlant la vitesse d'avance et en utilisant des meules CBN.
Fissures de trempe : Propagation intergranulaire avec des extrémités vives (confirmée par MEB).
Nom du défaut
Caractéristiques microscopiques
Causes et impacts
Structure de Widmanstätten
Ferrite aciculaire envahissant les grains
La surchauffe entraîne une réduction de la ténacité
Structure en bandes
Couches alternées de ferrite et de perlite
La ségrégation de coulée-laminage provoque l'anisotropie
Surchauffe
Oxydation ou fusion des joints de grains
Une température de chauffage excessivement élevée entraîne la mise au rebut totale
Quantification des données et comparaison standard